dimanche 29 avril 2012

En vue de la présidentielle française !

Une petite blague qui circule.... dans les milieux de droite bien sûr...

Nicolas Sarkozy, Queen Elizabeth, et Vladimir Poutin meurent en même temps et se retrouvent en enfer.
A leur arrivée ils repèrent un téléphone rouge et immédiatement demandent quelle en est l’utilité.
Le diable leur dit qu’il peut être utilisé pour appeler la terre dans des circonstances exceptionnelles.
 
Considérant tous les trois que les circonstances sont exceptionnelles car ils n’ont pas eu le temps de régler tous leurs problèmes, ils décident de demander s’ils peuvent s’en servir.

Poutin demande donc d’appeler la Russie, il parle pendant 5 minutes et le diable lui dit qu’il lui doit 1 million de Roubles. Poutin fait un chèque.
 
La Reine Elisabeth demande donc à son tour d’appeler l’Angleterre. Elle parle pendant 20 minutes et le diable lui demande 6 millions de livres. Elle paye.
 
Nicolas Sarkozy à son tour prend le téléphone, appelle la France et parle pendant 4 heures. A la fin de l’appel le diable lui dit qu’il doit 5 euros.

Quand Poutin entend cela il rentre dans une rage épouvantable et demande au diable pour quelle raison Sarkozy est-il traité de manière préférentielle?
Le diable sourit et lui dit que depuis que François Hollande est devenu président, la France est devenue un enfer et que c’est donc un appel local.

vendredi 27 avril 2012

Définition
Démocratie:
A.− Régime politique, système de gouvernement dans lequel le pouvoir est exercé par le peuple, par l'ensemble des citoyens. Démocratie autoritaire, directe, libérale, parlementaire, représentative.

SYNT. Démocratie semi-directe. Forme de démocratie combinant la démocratie directe et la démocratie représentative.
Démocratie économique et sociale. Forme de démocratie où l'État intervient pour libérer les citoyens des injustices économiques et sociales

CRISE DE L'EURO
Le peuple un détail gênant  -24 avril 2012
FRANKFURTER RUNDSCHAU FRANCFORT

Un spectre plane sur les marchés financiers : que se passerait-il si la cohorte des victimes de la crise n'approuvait plus la politique des puissants ? C'est la raison pour laquelle les responsables politiques comme les grands patrons préfèrent ne pas se risquer trop de démocratie. (Stephan Kaufmann)

La crise de l'euro est en standby les milliers de milliards de crédits alloués par la Banque centrale européenne ont calmé le jeu. Mais sur les marchés financiers une nouvelle menace se dessine : la démocratie. Les élections françaises [le second tour de la présidentielle le 6 mai sera suivi d'élections législatives en juin] et grecques [le 6 mai] ainsi que le référendum irlandais [le 31 mai] font naître des inquiétudes chez les investisseurs, les entreprises et les consommateurs explique Elga Bartsch de la banque d'investissement américaine Morgan Stanley.
Les pays européens exigent de leur population de lourds sacrifices. Afin de conforter la confiance des marchés financiers dans leur solvabilité ils suppriment des centaines de milliers de postes de fonctionnaires augmentent les impôts sabrent dans les dépenses publiques abaissent les retraites.
Et pour relancer leur compétitivité internationale ils revoient les salaires la baisse édulcorent la protection contre le licenciement affaiblissent les syndicats. Pendant ce temps les pertes d'emplois vont bon train. Dans des pays comme la Grèce et l'Espagne la moitié des jeunes actifs est aujourd'hui au chômage.

Coup d'état permanent
A l'heure qu il est, le plus gros risque pour l'Europe analyse Patrick Artus économiste la banque française Natixis est moins une hausse des taux sur les emprunts obligataires, qu'une crise politique et sociale dans un contexte de hausse spectaculaire du chômage .
A intervalles réguliers selon les règles du jeu démocratique les victimes de la crise peuvent donner leur avis par la voie des urnes sur les mesures engagées - et les rejeter si elles le souhaitent. Cette possibilité génère de l'incertitude sur les marchés. C'est la raison pour laquelle la classe politique
a tout fait ces derniers mois pour neutraliser le libre arbitre des lecteurs.
En Grèce l'idée d'un référendum sur les mesures d'austérité a ainsi été abandonnée en novembre - les dirigeants politiques allemands et français ont ouvertement menacé d'exclure la Grèce de la zone euro si les Grecs votaient l'abandon de ces mesures.
En Grèce et en Italie la crise a poussé vers la sortie les chefs de gouvernement élus. Ils ont été remplacés par des technocrates qui eux n'ont pas été élus et ne dépendent donc pas de la volonté des électeurs.
La politique en période de crise s'apparente un coup d'Etat permanent dénonce Joseph Vogel professeur de littérature. De plus en plus souvent ce sont des négociations informelles réunissant banquiers responsables politiques et banquiers centraux qui orientent la politique. Le pouvoir de décision est aujourd'hui aux mains des soviets de la finance déplore l'enseignant.
Certes le peuple est tout de même appelé à voter.
Par exemple en Irlande. Fin mai  l'île votera ou non l'adhésion au pacte budgétaire. Mais la marge de manoeuvre des Irlandais n'en est pas moins étroite : le pays dépend des aides du fonds de sauvetage européen - lesquelles ne seront versées que si l'Irlande adhère au pacte budgétaire.

La fin de la souveraineté
Début mai les Grecs éliront un nouveau parlement. Afin de mettre le plan de rigueur l'abri du libre arbitre des lecteurs les vainqueurs pressentis
du scrutin - le PASOK [socialiste] et Nouvelle Démocratie [droite] - ont d'ores et déjà été contraints de s'engager à poursuivre la politique de
réformes. Reste le probléme de la montée des petits partis d'opposition qui génère de l'incertitude chez des investisseurs que les dissensions politiques effarouchent.
Enfin il y a l'élection présidentielle française. Le socialiste François Hollande mène le jeu devant Nicolas Sarkozy le président en place.
Hollande veut taxer davantage les riches mettre un frein la politique de rigueur et renégocier le pacte budgétaire. Réaction des marchés : en avril la France a vu une nouvelle fois ses taux s'orienter la hausse lors d une adjudication obligataire.
De son côté Nicolas Sarkozy pousse les Français sur la voie de la réforme.
Ce qui implique naturellement des sacrifices pour la population. Mais sans réformes la France risque de connaître le sort de la Grèce ou de l'Espagne met en garde Sarkozy. Il n'existe tout simplement pas d'autre option. En clair : les Français peuvent aller voter. Mais ils n'ont pas le choix.
Dire aux gens qu'ils n'ont pas le choix revient leur interdire de s'exprimer et de penser, dénonce Ulrich Thielemann spécialiste allemand de l'éthique des affaires. Si l'on ne peut plus évoquer les alternatives possibles, c'est la fin de la démocratie . Techniquement certes on continuera d'aller voter. Mais les gens n'ont plus le droit de choisir, ils n'ont pas d'autre choix que de dire amen une politique irrévocable - la démocratie ne sert plus dès lors qu'à entériner .
L'électorat est aujourd hui dépossédé de son pouvoir par les marchés qui accordent ou refusent les crédits nécessaires. C'est la fin de la souveraineté assure Ulrich Thielemann. A ses yeux la politique s'assujettit la loi des marchés comme s il s'agissait d un phénomène naturel. Elle aurait aussi pu
tout simplement saisir par l'impôt les capitaux qu'elle quémande aujourd hui .
Pour Ulrich Thielemann la liberté des marchés s oppose la liberté de la démocratie. Quand l'Etat n a plus pour seul objectif que de doper la compétitivité , il nous interdit de nous poser cette question qui est au centre de la démocratie : comment voulons-nous vivre ?

Qui sont les vrais "maîtres du monde" ?
http://www.agoravox.fr/actualites/europe/article/le-lobbying-a-bruxelles-une-menace-6653

http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/le-bilderberg-lobby-le-plus-28814
Comment on vous manipule avec le mot islamophobie
Par Avraidire (blogueur )
Le mot phobie peut être traduit comme « peur irrationnelle »/ « crainte irrationnelle ». Le mot fut inventé par les musulmans. Ils veulent qu’en Europe « l’islamophobie » soit déclare un « crime/délit légal ».
Islamophobie = racisme ?
L’islam est un ensemble d’idées, spécifiquement de nature religieuse. L’islam n’est pas une race. Une idée est dans le monde de l’intellect, une race est quelque chose de concret, une personne.
Alors dire que critiquer le coran et les raisons intellectuelles données pour dire que Mahomet était un prophète, les idées connues comme l’islam, est la même chose que le racisme est absurde.
Des définitions
  1. l’islam est un ensemble d’idées, spécifiquement de nature religieuse. Ce n’est pas une personne.
  2. le communisme est un ensemble d’idées, spécifiquement de nature politique et économique. Ce n’est pas une personne.
  3. le capitalisme est un ensemble d’idées, spécifiquement de nature économique. Ce n’est pas une personne.
  4. le judaïsme est un ensemble d’idées de nature religieuse.
Plus de définitions
  1. le communiste est la personne, l’être vivant, qui est d’accord avec les idées appelées le communisme.
  2. le capitaliste est la personne qui est d’accord avec les idées connues comme le capitalisme.
  3. le musulman est la personne qui est d’accord avec des idées appelées l’islam.
Et quoi ?
La question est : l’islamophobie est-elle de la même nature/essence que la judeophobie(ou l’antisémitisme) ? Pas du tout.
  • Judeophobie = la discrimination et persécutions de personnes (les juifs).
  • Judaismophobie = critiquer l’ensemble des idées (pas des personnes) de nature religieuse, le judaïsme. Comme l’islam n’est pas une personne, ce n’est pas la même chose que la judeophobie (l’antisémitisme).
Différence entre un musulman et un juif
  1. le musulman croit en un ensemble des idées de nature religieuse : l’islam.
  2. le juif peut être :
  • Un juif qui croit au judaïsme (ensemble d’idées religieuses), comme les juifs orthodoxes.
  • Un juif qui est athée, comme le furent Freud, Marx (fondateur du communisme) et Spinoza (philosophe).
  • Un juif qui croit au christianisme comme le furent: le compositeur Mahler, le philosophe Husserl (créateur de la phénoménologie et maitre de Heidegger), le premier ministre britannique Disraeli, le compositeur Felix Mendelssohn, et ainsi de suite.
La vraie définition du mot islamophobie
Techniquement c’est critiquer des idées, et seulement des idées. Dire que cela est un crime est aller contre le droit de la liberté d’expression, c’est la répression, l’intolérance d’un groupe religieux.

La muslimophobie
Le vrai crime (et il y a déjà des lois contre cela) est discriminer quelqu’un, une personne, qui croit à l’islam. Le mot adéquat (qui n’est jamais utilisé par les dirigeants musulmans) est muslimophobie.
La définition donnée par les musulmans au mot islamophobie
Pour eux ce n’est pas seulement « critiquer un ensemble d’idées religieuses » (l’islam en soi), c’est :
  1.critiquer ses idées et aussi :
  2.discrimination et persécution des personnes (la muslimophobie).
  3.pour beaucoup cela inclut même le racisme.

Critique de la manipulation
Comme on voit la façon comment les musulmans comprennent le terme islamophobie n’est pas logique, rationnel ni intelligent. Voltaire et les autres philosophes de son époque auraient trouvé la situation comique et absurde.