mercredi 27 août 2014

Pizza... une question de fromage

C'est peut-être une évidence mais cette fois c'est prouvé par des scientifiques...



Quel type de fromage fera d’une bonne pizza, une pizza délicieuse? C’est la question sur laquelle des chercheurs de l’Université d’Auckland, en Nouvelle-Zélande, se sont penchés. Comme le relaye le site Huffington Post, c’est l’association du cheddar et de la mozzarella qui permet de décrocher la texture et la saveur d’une pizza parfaite. Les chercheurs ont procédé à des tests afin de définir l’élasticité, la quantité d’huile nécessaire, le niveau d’hydratation ainsi que l’adaptation à la cuisson de sept fromages différents.
Parmi les perdants on déplore le cheddar, le colby et l’edam qui ne possèdent pas l’élasticité suffisante à la formation de délicieuses bulles dans le fromage. Quant au gruyère, à l’emmental et au provolone, leur trop grande quantité d’huile les empêche de gratiner correctement.
C’est ainsi que la mozzarella se positionne en maître absolu des fromages à pizzas : bulles, pauvre en matière grasse et légèrement gratiné. Mais rien d’étonnant jusque-là puisque la mozzarella est d’ores et déjà l’ingrédient incontournable de la plupart des pizzaiolos. La nouveauté réside dans l’association de ce fromage, au goût un peu molasson, du cheddar, qui viendra relever le tout.

jeudi 21 août 2014

Scientifiques polonais

mercredi 20 août 2014

Hortaugraff

Trouvé dans une recette publiée sur le net...
Réussir ses beignets de calamar à la romaine
Ce matin, je suis allé au marché et j’ai eu envie en passant devant l’étal de poissons, de prendre des beaux anneaux de calamar (autrement appelé encornés), et de les préparer en beignets, j’en raffole !

Je ne voudrais pas me montrer plus pointilleux qu'un académicien mais....encorné dans mon dico c'est recevoir un coup de corne...  (La toréro s'est fait encorner par le taureau... p. ex.  
Alors que l'encornet  est en principe le nom vernaculaire du calmar lorsqu'il est pêché ou cuisiné.

samedi 16 août 2014

jeudi 14 août 2014

ET la vie privée dans tout ça...

A Sao Paulo, le frottis est obligatoire pour être prof !
 POLÉMIQUE - Le plus grand État du Brésil demande plusieurs certificats gênants avant d'embaucher certains fonctionnaires.

A Sao Paulo, il faut une bonne note au... frottis pour être prof. 
© BERTRAND BECHARD/MAXPPP

Pour devenir enseignant, il faut réussir de nombreux examens. Dans l’État de São Paulo, le plus riche et le plus peuplé du Brésil, certains sont plus gênants que d'autres... Les futures fonctionnaires de l’éducation publique de l'Etat doivent être en bonne santé pour avoir une chance d'être embauché. Et les candidats doivent joindre à leur CV des documents tels que le résultat de leur dernier test de PAP (frottis du col de l'utérus), une mammographie récente ou encore un examen de la prostate pour les hommes, rapporte Madame Figaro.
À défaut de frottis, un certificat de virginité. Au Brésil, ce mode de recrutement est devenu polémique depuis qu'une femme de 27 ans a dû... prouver qu'elle était vierge, seule condition pour se dispenser d'un frottis. Le site internet brésilien Ultimo Segundo raconte sa gêne au moment de réclamer à son médecin un certificat de virginité. "Le comble de l’absurdité", dénonce-t-elle. "La femme a le droit de choisir si elle veut passer un examen qui n'a rien à voir avec sa vie professionnelle", a aussitôt dénoncé le Secrétariat national pour la défense des droits des femmes, parlant de viol à la "dignité humaine".
L’État assume. Ce type d'examens obligatoires a été mis en place pour s'assurer que le candidat au poste ne présente pas de risques de contracter un cancer. Et l’État assume. "Les inspections de santé sont prévues pour assurer, au-delà de la compétence technique, la capacité physique et mentale des candidats à garder leur travail pour une moyenne de 25 ans", a justifié le Secrétariat de l’administration publique de Sao Paulo dans un communiqué.
Et en France ? Dans l'Hexagone, "il n’y a aucune obligation à déclarer son handicap ou sa maladie durant un parcours d’insertion, pour accéder à l’emploi, ou d’une manière générale à son employeur. Aucune discrimination à l’emploi (accès à l’emploi, évolution dans l’entreprise, niveau de salaire...) ne peut être appliquée au titre du handicap ou de la maladie, comme le stipulent les lois de lutte contre les discriminations du 16 novembre 2001 et du 27 mai 2008", rappelle l'association Handipole cité par Pourquoi docteur.
Toute au plus, un candidat aux concours de l'enseignement public doit obtenir un certificat médical auprès de son généraliste. Un médecin du travail peut toutefois déclarer une "situation d'inaptitude" qui peut déboucher sur un licenciement. Mais l'employeur a alors une obligation de reclassement.

http://www.europe1.fr/International/A-Sao-Paulo-le-frottis-est-obligatoire-pour-etre-prof-2203019/#

Il faudrait peut-être étendre cette mesure aux politiciens... en ajoutant un test de "probité" et surtout un certificat d'incorruptibilité...

samedi 2 août 2014

Bonum vinum laetificat cor hominis

Au Moyen Âge on appelait le vin: "Le lait des vieillards"....

Un bar à vin verra le jour dès septembre dans le service de soins palliatifs du CHU de Clermont-Ferrand, afin d'"égayer le quotidien difficile des patients", a-t-on appris vendredi auprès de l'établissement, qui assure que cette initiative est "une première" en France.
"L'objectif est de réhumaniser la vie des patients en agrémentant leur quotidien et en leur donnant également le plaisir d'offrir et de recevoir", a expliqué la chef de service du Centre de Soins Palliatifs du CHU de Clermont-Ferrand, Virginie Guastella.
Les patients en soins palliatifs "ne sont pas tous en phase terminale", tient à préciser le Dr Guastella. "Mais ils ont bien souvent perdu le goût. Ainsi, 80% des malades du cancer sont en état d'anorexie", explique cette dernière, pour qui "donner à boire la vinasse de l'hôpital" est toutefois une "hérésie".
"C'est un petit détail mais qui peut faire la différence"  
L'ouverture de ce "bar à vin" permettra également aux familles "en perte de sens et dans l'anticipation du deuil", de "créer des moments de convivialité" avec leurs proches hospitalisés, dans un "cadre médicalement encadré", a-t-elle précisé.
"C'est un petit détail mais qui peut faire la différence", a-t-elle dit, soucieuse d'"améliorer le cadre de vie des patients comme des soignants".
Les employés du centre de soins palliatifs du CHU Hôpital Nord de Clermont-Ferrand, situé à Cébazat, devraient par ailleurs être formés à cette nouvelle pratique par la socio-anthropologue Catherine Le Grand-Sébille.
Une cave à vin d'une capacité de 200 litres conservera "les bouteilles de vin mais aussi de champagne, whisky et de bière" dans des conditions optimales, a ajouté cette médecin, qui espère pouvoir proposer prochainement de "bons crus, tels que du Pomerol" aux patients et à leurs visiteurs.
Grâce à des partenariats et à différentes formules de mécénat, la réserve est actuellement en cours de constitution. "Les dons arrivent à plein ballon", s'est-elle encore réjouie, après avoir reçu l'appel d'un caviste.
L'aricle paru dans Le Vif