Paradis (de l’ancien
persan pairidaêza, « enclos fortifié »)
Le paradis ou jardin d'Éden représente souvent le lieu final
où les humains seront récompensés de leur bon comportement. C'est un concept
important présenté au début de la Bible, dans le livre de la Genèse. Il a donc
un sens particulier pour les religions dites abrahamiques.
Dans un sens plus élargi, le concept de paradis est présent
dans presque toutes les religions. Les croyants parlent aussi du « Royaume de
Dieu » qui sera manifesté à la fin du monde. Un concept semblable, le nirvāna,
existe dans l'hindouisme, le jaïnisme et le bouddhisme, même s'il représente
dans ce cas davantage un état spirituel qu'un lieu physique.
Histoire
Le pairidaêza autrefois le parc des satrapes persans (-229)
Satrape.
Un satrape (du grec σατράπης / satrápês, lui-même adapté de
l'iranien xšaθrapā, du vieux perse xšaθrapāvan, signifiant « protecteur du
pouvoir [royaume] ») est le gouverneur d'une satrapie, c'est-à-dire une
division administrative de l'empire achéménide (Perse), du Royaume de Macédoine
et de l'empire Séleucide.
Lorsque l’on se réfère à l’étymologie, le paradis (pairidaêza)
est plus proche du zoo de Brugelette que du jardin où les âmes
méritantes jouissent de la vie éternelle !!!
Et il est peu probable que le vulgum pecus puisse y a voir
accès même après une vie de sacrifices et l’observation stricte des
commandements… Vous imaginez M. Toulemonde aller assister à une séance du Club
Bilderberg ou au forum de Davos…