jeudi 8 août 2019

Repos éternel - Bon à savoir


Paradis (de l’ancien persan pairidaêza, « enclos fortifié »)
Le paradis ou jardin d'Éden représente souvent le lieu final où les humains seront récompensés de leur bon comportement. C'est un concept important présenté au début de la Bible, dans le livre de la Genèse. Il a donc un sens particulier pour les religions dites abrahamiques.
Dans un sens plus élargi, le concept de paradis est présent dans presque toutes les religions. Les croyants parlent aussi du « Royaume de Dieu » qui sera manifesté à la fin du monde. Un concept semblable, le nirvāna, existe dans l'hindouisme, le jaïnisme et le bouddhisme, même s'il représente dans ce cas davantage un état spirituel qu'un lieu physique.
Histoire
Le pairidaêza autrefois le parc des satrapes persans (-229)
Satrape.
Un satrape (du grec σατράπης / satrápês, lui-même adapté de l'iranien xšaθrapā, du vieux perse xšaθrapāvan, signifiant « protecteur du pouvoir [royaume] ») est le gouverneur d'une satrapie, c'est-à-dire une division administrative de l'empire achéménide (Perse), du Royaume de Macédoine et de l'empire Séleucide.
Lorsque l’on se réfère à l’étymologie, le paradis (pairidaêza) est plus proche du zoo de Brugelette que du jardin où les âmes méritantes jouissent de la vie éternelle !!!
Et il est peu probable que le vulgum pecus puisse y a voir accès même après une vie de sacrifices et l’observation stricte des commandements… Vous imaginez M. Toulemonde aller assister à une séance du Club Bilderberg ou au forum de Davos…

Nulle part ailleurs....


Ca fait rire et ça ne mange pas de pain....

https://docs.google.com/presentation/d/1KNVbi5bpayCUytee_9U7mggNZ-HP3jwvOI5q-Vt6-ds/edit#slide=id.p1

lundi 25 février 2019

Y a plus de jeunesse...

Les jeunes ne veulent pas travailler gratuitement, et ça agace la directrice de la chaîne Muffin Break
Repéré par Léa Polverini sur The Guardian — 24 février 2019
Ses déclarations ont provoqué un tollé, alors que le secteur de la franchise est en pleine enquête parlementaire en Australie.

À l’origine de l’affaire, il y a les «millennials», éternelle génération des boucs émissaires à qui l’on doit la faillite de l’ancien monde, cet âge d’or où les jeunes acceptaient encore de travailler dans la joie et le respect de leurs vénérables aînés, sans avoir l’outrecuidance de demander en plus un salaire.
C’est du moins la conception que s’en fait Natalie Brennan, la directrice générale de la grande chaîne de café-pâtisserie Muffin Break.
Franchise et exploitation
Dans une interview donnée à News Corps, elle se plaignait de cette grande décadence des étudiants et jeunes diplômés, qu’elle fait remonter à une dizaine d’années: «il n’y a tout simplement personne qui franchit le pas de ma porte pour me demander un stage, une expérience professionnelle ou un travail non rémunéré. On ne voit plus ça de nos jours».
Le tollé ne s’est pas fait attendre, et depuis hier, les critiques s’accumulent. Travailleurs et défenseuses des franchisés ont dénoncé ces déclarations comme le symptôme d’un problème de fond lié au système même des franchises, qui s’appuierait sur un modèle commercial insoutenable favorisant les débordements et l’exploitation.
Le scandale survient alors même que l’Australie –l’un des pays où est implanté Muffin Break– a lancé une enquête parlementaire sur le secteur de la franchise, et prépare son rapport final, qui devrait être publié le mois prochain.
http://www.slate.fr/story/173853/jeunes-travail-gratuit-directrice-muffin-break-franchise-exploitation